21 octobre 2011
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J’aimerais tant parler de tout ce qu’on ne voit,
Et donner en partage,
La vie qui va fusante au marbre des images.
Les couleurs dans ton vase ont bien d’autres appâts,
Et cet arbre est plus beau qu’un grand morceau de bois ;
Il est de l’invisible qui s’étale
Et qui luit dans ce tronc comme dans ces pétales.
Ne t’en veux pas de n’avoir jamais vu
L’Idée qui se complaît à cacher sa venue ;
Tout est dissimulé ! Et, jusqu’à maintenant,
La Vie même se voile aux versets qu’elle écrit.
Mais, si tu cherches, mieux, si tu demandes, pries,
Tu verras du décors l’envers et l’étonnant…
Sébastien Broucke.
21/10/2011. 11h-12h.